Black friday ? On préfère la conso responsable !
La planète commerciale s'affole chaque année pour ce fameux vendredi noir de novembre, une journée pour écluser sur-stocks et autres stocks dédiés avec des promos plus ou moins honnêtes selon les cas.
À grand renfort de pubs nos oreilles sont matraquées d'offres "inratables" pour remplacer nos "vieux" objets et remplir nos placards de "nouveaux" trucs absolument nécessaires à notre bonheur !
Un achat peut être essentiel, un objet tombe en panne, la famille s'agrandit, etc...
Un achat peut être plaisir, faire ou se faire un cadeau, décorer sa maison, acheter un bijou valorisant ses jolis yeux, etc...
Jusque-là rien de plus normal !
Suis je libre ou sous pression?
Mon achat est il vraiment essentiel ou plaisir, ou suis je tenté(e) et embobiné(e) par ce prix si bas que j'ai l'impression de faire l'affaire du siècle, ou bien encore suis je dans le compulsif et dans ce cas qu'est ce que je cherche à combler ?
En gros ai je tout mon libre arbitre ?
La décision d'achat prise, je me pose au moins LA question essentielle : mon achat est il RESPONSABLE ?
Kilomètres parcourus, moyen de transport, bilan carbone...
Un adulte, un enfant... à quelle rémunération, dans quelles conditions sanitaires et sociales...
Accepterais je de travailler dans les mêmes situations ?
En polluant l'eau les milieux naturels, l'air... En pillant les ressources, générant des déchets, en impactant la santé des salariés... ?
Une multinationale, un revendeur, un producteur ou un artisan local, une entreprise en règle, un professionnel qui aime et parle de son métier...
Est-il cohérent avec la qualité des matériaux employés, les cotisations sociales et charges de l'entreprise, le nombre d'intermédiaires, le respect des réglementations, le salaire équitable de celui qui fabrique...
Bien sûr, quand on a des moyens limités, un produit peu vertueux reste moins cher, mais seulement dans une vision raccourcie de ce que l'on croit être notre porte monnaie.
Attention à ne pas oublier les coûts induits de l'irresponsabilité que l'on paye de toutes façons dans nos impôts et cotisations diverses :
dépollutions, gestion des déchets, assurances risques naturels et technologiques, traitement des maladies, faillites et chômage des petites entreprises locales, dégradation des milieux naturels et des conditions de vie, etc...
On peut faire ainsi un inventaire à la Prévert mais beaucoup moins poétique hélas.
On ne changera pas le système en deux minutes, il faudra des années et beaucoup d'entre nous ne verrons pas le résultat.
Mais commencer aujourd'hui à s'interroger sur notre part de responsabilité universelle dans nos modes de consommation et de fabrication est urgent si nous voulons laisser aux générations futures un monde viable.
L'engagement des Belles du Baou depuis leur création en 2016 pour vous proposer des bijoux et objets déco plus vertueux ?
Et donc des prix justes toute l'année !
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©Marie-Dominique des Belles du Baou (écrit sans IA mais avec cœur ! 😉)